Peu connu du grand public mais glorifié par plusieurs générations d'artistes (en arts numériques appliqués et bio technologie), sa recherche fondamentale est axée sur le programme du temps, l'éveil des sens et la créativité de l'être sous toutes ses formes
- Physiologiques,
- Psychologiques,
- Mentales et spirituelles.
Plus qu'un symbole artistique, l'ensemble de son Œuvre est conçue pour calmer, stimuler et transcender la conscience. Elle est aujourd'hui considérée comme un témoignage de l'évolution humaine vers une société de l'esprit.
L'œuvre et l'individu ne font plus qu'un. L'idée fait l'œuvre.
Cysp 1, sculpture cybernétique autonome de Nicolas Schöffer, présentée sur le toit de la Cité Radieuse à Marseille lors d'un Ballet de Maurice Béjart (1956).
1956 : “Cysp 1” intègre le Ballet de Maurice Béjart durant le temps d’une représentation, elle inter agit avec les danseurs et danseuses qui évoluent sur le toit de la Citée Radieuse de Le Corbusier. Equipée d’un cerveau électronique, de cellules photoélectriques et de microphones, cette sculpture réagit aux modifications de son environnement lumineux et sonore par des déplacements et par la mise en mouvement des plaques colorées qui la constituent (www.nouveauxmedias.net)
Formé à la peinture à l’Ecole des Beaux-Arts de Budapest, mais devenu un artiste pluridisciplinaire original et innovateur, Nicolas Schöffer, est le père de l’Art cybernétique (interactivité) et de l’art vidéo. Ses sculptures créent des ambiances lumineuses dynamiques de toute beauté, dont les effets esthétiques sont bienfaisants, harmonisants ou dynamisants. Ses idées exprimées dans une dizaine de livres édités ont nourri et nourrissent encore la recherche fondamentale en art. De nombreux films, par ou sur lui, complètent la connaissance visuelle de son œuvre. Eléonore de Lavandeyra Schöffer, son épouse et collaboratrice, a ouvert l’atelier à la visite en 1984, du vivant de l’artiste.
